Quand on passe une semaine à marcher, avec une moyenne bien supèrieure à 10 kilomètres par jour, le tout sous des températures dépassant parfois les -10 degrés, forcément, on se prépare un planning où se trouve la visite d’un certain nombre de musées, hauts lieux culturels qui brillent tant par leur chauffage que par leur Wi-Fi gratuit.
Le MoMa de New-York, le Musée d’art moderne, fut le dernier de notre liste (selon le New-York City Pass que nous avons pris avant de venir, qui contenait en plus la Statue de la Liberté, l’Empire State Building et le Top of the Rock), après le Musée d’histoires naturelles (celui que l’on voit dans « une nuit au musée »), et le Metropolitan Muséum of Art (celui que l’on voit dans « L’affaire Thomas Crown »). Plus petit que les deux précédents, il reste quand même celui qui nous a laissé le meilleur souvenir. Et pourtant, pas sûr que l’on comprenne grand chose à l’art moderne…
La visite commence par une galerie de jeux vidéos des plus « vintage » dont le fort célèbre jeu soviétique « Tetris »
Et là, un bloarq, de l’artiste australo-moldave Gunter
Et là, le trône de fer, version Marc Dorcel…
Et en exclusivité, l’artiste Texan John Duff représentant l’intégralité des idées de Georges W Bush…
Hommage à l’artiste portugais Ricardo Gomes Freitas de Souza Maria Plancha
Et là, un Monochrome de Whiteman
Un Bloarq horizontal, par l’artiste Portugo-savoyard Cirilao Didihno
L’artiste colombien Juan Cafe Costa Maria Pignata, dans son unique œuvre à jeun…
L’artiste afghano-iraquien Omar Mathuer, dans son interprétation verticale de la journée de la femme
Le peintre originaire de Tatooine, Obidan Kenoski, dans son interprétation graphique de la Force.
A l’étage, nous avons trouvé des œuvres plus intimistes, d’artistes moins connus…
Les lasagnes Findus, Superman, Michael Jordan, la sieste et la religion, par Jordi, 6 ans…
John John John, artiste americano-cambodgien dans un travail en profondeur sur le thème du furoncle
L’artiste portugais Ricardo Gomes Freitas de Souza Maria Plancha dans son œuvre majeure : Conchita est malade !
Juan Cafe Costa Maria Pignata dénonçant les ravages de la chnouf
Et pour finir, deux chiens qui se ramonent le fondement…
J’espère que cette visite vous a plus. Nous en tout cas, on s’est bien marré. Vive l’art !